Branle-bas de combat à la maison mère.
Publié le 6 Mars 2017
Au siège social du Paris Monaco International, une intense activité bouillonnait depuis quelques jours, et cela même si le grand patron travaillait depuis son yacht. Tous les budgets alloués à la publicité du Paris Monaco se retrouvaient déjà en vedette parmi les médias les plus cotés. Des annonces dans les journaux, les magazines, les revues, à la télévision, sur les placards, les panonceaux, les blogues et le web inondaient tout le marché. La cérémonie d’ouverture promettait un véritable délire si l'on en croyait les publicistes. TFr7 en remettait lui-même à coup de spots promotionnels, flashant toutes les vingt minutes un encart sur les écrans de la planète à son écoute et qui transmettaient cette phrase clichée :
Ne manquez pas de jouer.
De mémoire, personne ne se souvenait d’un tapage médiatique d’une pareille ampleur. Cette monstrueuse publicité se multiplia de manière exponentielle, créant un maelström incontrôlable où chacun, voulant s’assurer de détenir la prérogative sur les évènements, en rajoutait.
Chapitre 89 : Le Princess Dream